De la peur de mourir chez l'écrivain
"... et dire que tout à l'heure, quand je rentrerai chez moi, il suffirait d'un choc accidentel pour que mon corps fût détruit et que mon esprit, d'où la vie se retirerait, fût obligé de lâcher à jamais les idées qu'en ce moment il enserrait, protégeait anxieusement de sa pulpe frémissante et qu'il n'avait pas eu le temps de mettre en sûreté dans un livre."