De l'imagination... comme remède
Je lisais tout à l’heure que l’imagination pourrait être un médicament. Par ailleurs, certains disent que l’écriture ne peut être une thérapie. Et, c’est bien vrai. La thérapie renvoie au réel et en ce sens elle vise l’interprétation. On doit faire… s’accorder avec la réalité. Le principe de réalité qui se doit d’être intégré. Tandis que l’imaginaire, on aurait tendance à le chasser… jusque dans les rêves ! Et là je me marre. Parce que s’il n’y avait pas la réalité, il n’y aurait pas les rêves. L’imagination, comme remède ? Et s’il n’y avait que ça ? Parce qu’en plus, si on s’en réfère à la thérapie, n’est-ce pas que pure imagination qui là se traite ? Vous voulez dire que je vous fais croire à une fiction en vous parlant de thérapie ? Eh bien, en quelque sorte, parce que tout ça n’est que narration. Quoi qu’il en soit, vous ferez toujours votre cinéma. Bref, vous vous raconterez des histoires. Oh là là… elle nous fait quoi là ? Du Devos… ou du délire ? Je dirais juste de l’inspiration. Une source d’écriture qui part d’un mot et qui déroule une pensée. Juste pour le plaisir de l’imagination. Association d’idées, vous dites ? Et, pourquoi pas. Alors oui, je parie sur le fait que l’imagination, ça peut guérir. De tout ? Ça je ne sais pas. Tout ça pour ne rien dire, vous me direz. Et vous n’auriez pas tort. Sur le principe. Mais en réalité ? Eh bien, imaginez ce que vous voulez.
CDG (Mes élucubrations)