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Top articles
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Mon inspiration dans la cure, c'est la littérature
Mon inspiration dans la cure, c'est la littérature, Mrs Dalloway m'a plus aidée que Psychopathologie de Freud
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Si vous faites de la littérature...
"Si vous faites de la littérature, vous êtes d'avance doublé par elle, c'est pour cela que vous l'aimez, parce qu'elle va plus loin que vous et que vous courez après. Et si vous l'aimez, pourquoi irait-elle vous rejeter pour se donner à un autre ? Mais...
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La beauté d'un mot...
La beauté d'un mot ne réside pas dans l'harmonie phonétique de ses syllabes, mais dans les associations sémantiques que sa sonorité éveille. De même qu'une note frappée au piano est accompagnée de sons harmoniques dont on ne se rend pas compte mais qui...
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Une personne n'est pas...
Une personne n'est pas, comme je l'avais cru, claire et immobile devant nous avec ses qualités, ses défauts, ses projets, ses intentions à notre égard (comme un jardin qu'on regarde, avec toutes ses plates-bandes, à travers une grille), mais est une ombre...
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L'écrivain qui...
L'écrivain qui ajoute des obscurités à la vie qui Dieu merci est déjà assez obscure, en créant une obscurité de mots pour faire beau, pour faire intéressant, pour faire amusant, pour que ça ait l'air de quelque chose de nouveau, est tout à fait en dehors...
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Je dois m'en tenir à mon propre style...
Je dois m'en tenir à mon propre style, suivre mon propre chemin, car je ne réussirai peut-être jamais dans cette voie, mais je suis convaincue que j'échouerais totalement dans toute autre.
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L'originalité consiste...
"L'originalité consiste à essayer de faire comme tout le monde sans y parvenir."
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De la peur de mourir chez l'écrivain
"... et dire que tout à l'heure, quand je rentrerai chez moi, il suffirait d'un choc accidentel pour que mon corps fût détruit et que mon esprit, d'où la vie se retirerait, fût obligé de lâcher à jamais les idées qu'en ce moment il enserrait, protégeait...
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On écrit pour...
On écrit pour dire ce que, dans la vie de tous les jours, on ne peut pas formuler, sauf à passer pour un fou.
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Les livres m'ont aidé à...
Les livres m'ont aidé à être un homme capable d'inspirer de l'amour et d'en recevoir et ensuite de faire durer cet amour, parce que les livres m'ont dénoncé les pièges, les livres m'ont donné des mots pour formuler les ambiguïtés des sentiments, les livres...
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La morale et les lettres...
… le parti de l’ordre trouvera des arguments. Résigne-toi. Mais dénonce-lui, afin qu’il les supprime, tous les classiques grecs et romains, sans exception, depuis Aristophane jusqu’au bon Horace et au tendre Virgile. Ensuite, parmi les étrangers, Shakespeare,...
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La femme qui écrit
La destinée de la femme seule est terrible, mais lorsqu'il s'agit d'une femme lettrée ou d'une femme de lettres, alors on s'approche de l'indicible... Il y a une tradition dans la phobie masculine de la femme de lettres. Entre le ricanement supérieur,...
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Un livre doit être...
'Un livre doit être la hache qui fend la mer gelée en nous ; voilà ce que je crois.'
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Les personnages de mon roman...
‘Les personnages de mon roman sont mes propres possibilités qui ne se sont pas réalisées. C’est ce qui fait que je les aime tous et que tous m’effraient pareillement. Ils ont, les uns et les autres, franchi une frontière que je n’ai fait que contourner....
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C'est aussi ça qui me fait écrire
Ce qui est peut-être le plus intéressant ce sont nos creux, ce sont nos failles... Les choses ne sont jamais reçues comme on aimerait, les livres ne sont jamais tout à fait ceux qu'on aurait voulus... Je suis fait de tout ce que j'ai traversé... ma misère,...
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Le droit intangible du romancier...
Le droit intangible du romancier, c'est de pouvoir retravailler son roman
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Le souffle de l'écriture
Vos lecteurs ne sont peut-être pas encore nés, ne cesse de vous murmurer Stendhal. Prenez un classique [...] et parlez-lui longuement. Puis écoutez, et il vous dira ses souffrances cachées à l'intérieur du livre. Ses phrases sont des ruisseaux de sang....
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Les confinés
Pour ceux qui avaient des vies très animées, Qui sortaient, voyageaient, parlaient, allaient, venaient Cela les aura bien changés Mais pour ceux qui étaient déjà claquemurés, abandonnés, isolés Cette vie n'aura rien changé Charlotte De Garavan
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